France, île(s) aux trésors
R e g a r d e o ù t u m a r c h e s 1 0 0 1 S a i s o n s
Portraits de quelques perles insulaires du littoral français,
par leurs sols, leurs grèves et leurs eaux…
Marine Gateff
Introduction de Catherine Chabaud
Remerciements à...
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La famille Hurel à Chausey, et pas qu’elle… bien entendu.
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Alain et Antoinette Causeret, Gery Trenteseaux et sa douce moitié, pour leurs accueils dans la fragile intimité de l’île des Hébihens,
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Les familles Candelier et Graff à Bréhat,
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Jean Henry et nos merveilleuses causeries du soir à Roscoff, avant ou après mes journées aux pays des herbes folles de l’île de Batz,
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Chantal Colloc pour son hébergement à Ouessant, et son mari pour m’avoir aidée à identifier les lieux de mes prises de vue quand j’étais perdue, le soir, dans la récolte de mes images,
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Véronique Bévan pour son gîte de Groix, et mon ami Cristian et les enfants, pour leur compagnie et patience lors de nos séjours,
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La famille Dubois à l’Île-aux-Moines ; avec mes meilleurs souvenirs,
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Dany Taraud, Marcel, et toute la joyeuse troupe de l’Abri du Marin à Yeu ; que de puissantes rencontres…,
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L’inénarrable Lolotte pour son accueil à La Flotte en Ré, sur la route de l’île d’Aix ; on ne change pas une équipe qui gagne,
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Richard Barety et ses partenaires du Conservatoire du Littoral et/ou du Parc National des Calanques pour m’avoir facilité le séjour aux îles du Frioul ; Gilles-Martin Raget, qui, autour d’une tomate mozza à mon retour de Pomègues, m’a encouragée à continuer et mener à bien cette aventure entre terre et mer,
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Porquerolles, les îles d’Hyères et tout ce qui va avec : mes parents pour m’y avoir tissé de savoureux souvenirs d’enfance, les maîtresses de l’école Paul Long à Hyères pour tous les projets « nature » et… la classe verte à Port-Cros, Marc et Marisa Bonduelle pour m’y avoir accueillie ado, les pêcheurs ( merci Pierrot and cie pour l’héberge impromptu à bord et à la belle étoile), les autres porquerollaises et porquerollais croisés en chemin, le Parc National de Port-Cros pour l’accueil de l’automne 2015, dans les bois « enfaisandés » sur la route du Bregançonnet…,
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Chantal Farnarier et nos douces discussions d’un soir à Antibes, rampe de lancement vers les îles du Lérins,
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La lumineuse communauté des Frères de l’Abbaye de Saint-Honorat, qui oui, a su depuis des siècles préserver l’ancrage spirituel de ce lieu, y compris au plus fort de la saison touristique estivale,
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Toutes celles et ceux rencontrés lors de ce nomadisme dont, si le nom m’échappe aujourd’hui – toutes mes excuses -, la simple, belle, et enrichissante humanité continue à me nourrir des années après,
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Bernard Decré, fondateur et à l'origine de la très belle idée du Tour de France à la Voile; Benoit Charon et tous les copains-copines de mes belles années du Tour Voile avec l'équipe Normandie, celles où l’épreuve, loin du sport spectacle, était une merveille de mixité sportive, d’apprentissage, et d’échanges humains à terre comme sur l’eau ; merci pour les navs et les fêtes partagées, la colo comme les discussions intimes, l’attention des assistances pour le contenu des petits déjeuners au rappel dans le vent sous la pluie, le jeu des départs et passages de bouées avec trente bateaux monotypes et autant de belles équipes affutées, les bords de bon plein interminables, les pannes d’électronique dans le raz Blanchard à la tombée de la nuit, les atterrissages sur Marseille au lever du jour…,
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Robert Macia, pour son regard expert sur les premiers pas de cette aventure F.I.A.T, version livresque,
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Florence Ève, pour son accompagnement dans les balbutiements du premier volet éditorial de F.I.A.T.,«Chausey, cher trésor »,
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Cette très chère et inspirante Catherine, qui me fait l’honneur et l‘amitié d’introduire cet ouvrage,
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La vie, qui m’a tant donné,
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L‘ extraordinaire bulle de cosmos Gaïa , qui nous héberge, nous soigne et nous nourrit, et continue à nous tolérer malgré toutes nos erreurs. Puissions-nous être plus clairvoyants.